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    SÉMINAIRE PERMANENT DE LAFRHC
    « N
    OUVELLES RECHERCHES SUR LHISTOIRE DU CINÉMA »

    2023-2024
    Séance du 15 décembre 2023 à 18h
    (Galerie Colbert, salle Benjamin)

    LE CINÉMA ITALIEN DES ANNÉES 1960-1970 : UN CINÉMA POLITIQUE ?

    Fabrice Montebello (Université de Lorraine – IHTP-CNRS)

    « Les réalisateurs Maselli, Rosi, Fellini, Scola, Lizzani, Pontecorvo, Antonioni » veillent le cercueil d'Enrico Berlinguer, secrétaire général du Parti communiste italien, Rome, 12 juin 1984. (Photographie de Rodrigo Pais publiée dans Ciao Enrico, Roma,
    Dipartimento stampa, propaganda e informazione del PCI, 1984, p. 33).

    Séance préparée et animée par Jean A. Gili

    Du « miracle économique » à la fin des années 1970, le cinéma italien connaît la production d’un grand nombre de chefs-d’œuvre et de films de qualité. Suivis par le public italien, reconnus par la critique nationale et internationale, récompensés dans de nombreux festivals et au sein des professionnels du spectacle, distribués à l’étranger, ces films n’étaient pas seulement des occasions de divertissement, mais aussi de réflexions et de débats sur les conditions de développement et de modernisation de l’Italie. Portés par des professionnels du spectacle engagés à gauche et notamment au sein du parti communiste italien, ils ont contribué à la diffusion d’une

    vision critique du monde et à la valorisation politique des classes subalternes. Combinant la critique sociale (par la « comédie italienne ») et la critique politique (par le « film engagé » ou « d’engagement civil »), ces films étaient reconnus pour leur qualité artistique à partir de deux genres qui servent d’ordinaire à la dénigrer. Lorsqu’au début des années 1980, les forces économiques et sociales qui ont contribué à la modernisation de l’Italie sont défaites politiquement, le cinéma italien cesse de produire des films de qualité.

    Fabrice Montebello est professeur en études cinématographiques à l’Université de Lorraine (Metz) et directeur du Laboratoire lorrain de sciences sociales-Metz. Il est actuellement en délégation CNRS (Institut d’histoire du temps présent).


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  • A l'occasion de la semaine de lutte et d'éducation contre le racisme, le séminaire s'associe au MRAP Moselle et invite à un échange public :

    Le mardi 21 mars 2023 à 17h00, à Metz,

    ile du Saulcy, Bâtiment A UFR Arts Lettres et Langues, Amphithéâtre 1

     

    Joséphine Baker : Anthropologie du spectacle et études culturelles

     

    Présentation Anne Féray
    (MRAP Moselle - Mouvement contre le Racisme et pour l'Amitié entre les Peuples)
    Jospéhine Baker : L'anti-racisme à l'honneur

     

    "Femme, noire, américaine, Joséphine Baker était destinée à connaître plusieurs des discriminations multiples que connaissent tant d’êtres humains. Née dans la misère, déscolarisée pour être mariée à 14 ans, elle subit les injustices et les humiliations d’une société encore dominée par la ségrégation raciale.

    En France, elle rencontre une société un peu plus ouverte à certains droits humains. Son talent artistique lui permet, non seulement de se construire une place dans le monde du spectacle, mais de parodier, caricaturer, dénoncer d’autres formes de préjugés racistes, celles liées au colonialisme européen.

    Elle sait devenir une combattante pour éviter à l'Europe de sombrer devant la barbarie nazie, remplissant des missions dangereuses, abritant chez elle, sans distinction, tous les réfugiés qui ont besoin de protection.

    Puis, elle est retournée aux États-Unis participer au combat universaliste pour les droits civiques des Noirs américains, apparaissant aux côtés de Martin Luther King dans son uniforme de l'armée française.

    Cet idéal, la fraternité réelle de l'humanité, elle le concrétise en fondant une famille extraordinaire, emblématique « tribu arc-en-ciel » de 12 enfants issus du monde entier.

    Le MRAP se réjouit que la République fasse une place au Panthéon à cette femme et honore sa mémoire. Il souhaite surtout que cette image de la fraternité universelle inspire le combat de tous ceux et toutes celles qui aspirent à une autre humanité. Cet engagement, est aussi celui du MRAP" (bureau national du MRAP, le 1er décembre 2021).

    Anne Féray, présidente du comité local de Moselle Ouest du MRAP, évoquera les conséquences des préjugés racistes dans la vie des personnes concernées, en inscrivant l'anti-racisme contemporain dans la continuité des actions menées par le passé. Elle montrera comment le MRAP se saisit des travaux universitaires pour construire son action et participer à la déconstruction des préjugés racistes.

     

    Extrait du film : Joséphine Baker, un destin français (France, 2021)

     

    Table-ronde :

    Jean-Marc Leveratto (professeur émérite de sociologie, 2L2S-Metz)

    Olivier Goetz (professeur d'études théâtrales, 2L2S-Metz)

    Fanny Beuré (Maitresse de conférences en études cinématographiques, 2L2S-Metz)

    Oranie Abbes (Doctorante en Arts, 2L2S-Metz)

     

    Anthropologie du spectacle et études culturelles

     

    Les mobilisations récentes en France contre  le racisme et le sexisme témoignent d'une sensibilité de plus en plus grande et d'un rejet croissant des violences dont les femmes et les personnes issues de minorités sont les victimes. La dénonciation de ces violences s’élargissent désormais à leur aspect "symbolique", au sens des blessures psychologiques provoquées par certaines images irrespectueuses des personnes.
    La nécessité de dénoncer et de "déconstruire les représentations" (ou les "stéréotypes", les "préjugés", les "prénotions", etc.,) fait désormais partie du registre militant, particulièrement dans la critique moderne des médias et des industries du spectacle. Comme le signale l'encart promotionnel d'une chaîne de télévision culturelle franco-allemande célèbre, "Films, séries, publicités, jeux vidéo, pornographie ou contes de fées… sans qu’on s’en rende compte, ces images et récits influencent notre sexualité. Depuis l’enfance, ils construisent inconsciemment nos désirs, définissent des normes et inspirent nos pratiques au quotidien".
    Cependant, la consommation culturelle elle-même et la généralisation de la posture critique via l'expansion des formations universitaires ne sont pas étrangères au développement des sensibilités anti-racistes et anti-sexistes contemporaines.
    Analyser cette évolution des "images" ou "représentations" charriées par les productions culturelles demande donc d’être attentif à la manière dont ces productions artistiques affectent directement les personnes qui les interprètent comme celles qui les regardent.  Tout en répondant à leur demande de plaisir, elles sollicitent, en effet, le sens de la justice des spectateurs.
    Joséphine Baker, du fait de sa réussite artistique exceptionnelle et de sa contribution à l’évolution de l’image de la femme noire en France, offre une occasion privilégiée d’en discuter.

     

     

    Lien Teams pour les personnes ne pouvant se déplacer :

     

    https://teams.microsoft.com/l/meetup-join/19%3ameeting_OTg4MmQ5NGEtYjI2My00YzYyLTllZTAtZDZkNGM4Zjk3NmUz%40thread.v2/0?context=%7b%22Tid%22%3a%22158716cf-46b9-48ca-8c49-c7bb67e575f3%22%2c%22Oid%22%3a%22b27e6e44-0869-43a1-9dda-371d933bc25b%22%7d

     

     

     


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  • La prochaine séance du séminaire "expertises et transitions" aura lieu ce jeudi 16 mars de 17h30 à 19h00 avec une intervention de Fabrice Montebello (PU en Arts, 2L2S-Metz) intitulée « Transition – révolution ».

    La séance aura lieu en salle G. Tillion. Elle pourra être suivie sur Teams à partir du lien suivant :

    https://teams.microsoft.com/l/meetup-join/19%3ameeting_NmY0MDZlYTgtNTBmOS00NmRlLTlkODQtZTZhZjBmOWI1ODdm%40thread.v2/0?context=%7b%22Tid%22%3a%22158716cf-46b9-48ca-8c49-c7bb67e575f3%22%2c%22Oid%22%3a%221a7fa0ef-35c6-4939-8096-05cb6e074c91%22%7d

    Présentation de l'intervention de Fabrice Montebello

    « Révolution » et « transition » sont des mots avant de désigner des réalités. Le second étant beaucoup plus usité que le premier si l’on en croit les occurrences des moteurs de recherche sur internet (1,7 milliards pour « transition », 110 millions pour « révolution » - mais la graphie anglaise de « revolution » donne 1,6 milliards d’occurrences). Dans les sciences sociales, « la révolution » est aussi un concept qui désigne l’« ensemble des événements historiques qui ont lieu dans une communauté importante (nationale, en général) lorsqu’une partie du groupe en insurrection réussit à prendre le pouvoir et que des changements profonds (politiques, économiques et sociaux) se produisent dans la société » (Petit Robert, 1993). « Transition » au sens moderne du terme (« passage lent, graduel, d’une transformation progressive ») demeure une définition générale et est alors timidement associée au vocabulaire politique institutionnel dans l’expression « de transition » (« un gouvernement de transition ») (Petit Robert, 1993). En 2017, l’entrée « révolution » est reproduite telle quelle, l’entrée « transition », au sens moderne, ajoute deux précisions : « Transition énergétique : passage progressif à une économie moins dépendante du pétrole et du nucléaire et à une meilleure efficacité énergétique. —  Transition écologique : passage progressif à des usages plus respectueux de l'environnement (transition énergétique, développement durable, maintien de la biodiversité, etc.) ». Celles-ci témoignent des préoccupations du moment et, indirectement, de l’usage académique du mot qui associe progressivement « transition » et « changement social ».

     

    Reprenant le constat d’Hanna Arendt selon lequel « Les révolutions sont les seuls événements politiques à nous faire affronter directement et inévitablement le problème du commencement » (On Revolution, 1965), Arno Mayer part du « postulat qu’il n’est pas de révolution sans violence ni terreur, sans guerre civile ni guerre extérieure, sans iconoclasme ni conflit religieux, et sans heurts entre ville et campagne » (Les Furies : Violence, vengeance, terreur, 1789-1917, 2002), précisant plus loin « on peut considérer qu’une crise révolutionnaire est une époque historique dotée d’un début précis mais d’une fin mal définie et douteuse. Différente en cela d’une période historique dont le commencement est aussi vague que le terme ». S’il n’est pas de révolution sans contre-révolution, ni de révolution sans guerre civile (alors que l’on peut imaginer des guerres civiles sans révolution) les révolutions sont le fait de grands pays à « l’importance transnationale » (comme la France de 1789 ou la Russie de 1917). « En s'enracinant dans un grand pays, une révolution déstabilise le système international » (Mayer, 2002).

    Concept et élément de connaissances pour les chercheurs, "la révolution" est aussi une idée portée par des acteurs politiques. « De fait, la révolution présente deux visages contrastants : l'un glorieux et séduisant, l'autre violent et terrifiant. Aujourd'hui, la dystopie a entièrement éclipsé l'utopie » (Mayer 2002).

    A contrario, la transition ne serait-elle qu’une « révolution passive » (Gramsci), la reconduction du passé dans le présent – que résume la célèbre formule du Guépard de Lampedusa « si nous voulons que tout reste tel que c’est, il faut que Tout change » ? ou bien son inversion, dans la continuité d’une « réforme intellectuelle et morale » (Gramsci) qu’anticipait Machiavel « celui qui, dans une cité libre, veut réformer un gouvernement ancien, qu’il conserve au moins l’ombre des usages anciens » (Machiavel , Discours)*.

    * L'anticipation et inversion de la formule très connue du Guépard de Lampedusa par Machiavel est rappelée par Carlo Ginzburg, Néanmoins : Machiavel, Pascal, Verdier Histoire, 2022, p. 258-259.


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    Lionel Renaud
     
    (Docteur en Arts, Université de Lorraine - 2L2S-Metz)

    "Série télévisée et super-héros : l'évolution d'un cadre de l'expérience"

    Cette communication se propose d’analyser, à partir de la notion de « cadre de l’expérience », le rôle que joue le consommateur dans l’évolution du marché de la série télévisée américaine de super-héros. Depuis les années 2010, les studios Marvel et DC Comics se sont tournés vers la production de séries télévisées – ouvrant de facto, un nouveau « cadre de l’expérience » pour le spectacle de super-héros, lequel, de surcroît, s’est généralisé avec la création des services de vidéo à la demande (comme Netflix). Ce développement commercial est une conséquence de la forte demande de ce type de récits (comme l’atteste la réussite des films au cinéma), mais aussi du plaisir que procure au téléspectateur (de manière générale) le format de la série télévisée et la possibilité de consommer cette dernière directement chez lui et, surtout, selon son envie. La sensibilité des individus pour la série en streaming est en effet liée aux possibilités qu’offrent l’espace domestique et les plateformes de vidéos en matière d’expérience. Ce cadre se caractérise par un engagement corporel spécifique, qui facilite l’attachement psychologique et esthétique aux personnages des séries. C’est en s’appuyant sur ce cadre que les producteurs ont littéralement profité de l’engouement des téléspectateurs pour Netflix. Ils ont ainsi pu renouer avec le marché de la série audiovisuelle, en développant notamment des récits de bande-dessinées jamais adaptés au cinéma. Puis, dans un second temps, ce qu’illustre la création de Disney+ en 2019, les studios ont pu jouer sur le passage du cadre traditionnel de cinéma au nouveau cadre de l’expérience porté par les plateformes de streaming. Finalement, en passant du film à la série, de la salle de cinéma à la maison, du collectif à l’individuel, ces studios ont ainsi réussi à conquérir de nouveaux publics (les consommateurs de séries sont aussi de potentiels spectateurs de films) et permis aux admirateurs du genre de diversifier leur expérience du spectacle de super-héros.   

    La séance aura lieu mardi 28 février 2023 à 17h00, à Metz,

    ile du Saulcy, Bâtiment A UFR Arts Lettres et Langues, Amphithéâtre 1

     

     

    Lien Teams pour les personnes ne pouvant se déplacer :

     

    https://teams.microsoft.com/l/meetup-join/19%3ameeting_MmNjMmVjYzItOTcxMy00NzkxLTkxYjUtOWIzYjlhYjBkZTQz%40thread.v2/0?context=%7b%22Tid%22%3a%22158716cf-46b9-48ca-8c49-c7bb67e575f3%22%2c%22Oid%22%3a%22b27e6e44-0869-43a1-9dda-371d933bc25b%22%7d

     

    Toutes les séances passées et futures du séminaire, les éléments d'information sur les études de doctorat et les recherches en Arts à Metz, les informations sur les colloques, journées d'études, séminaires qui impliquent le 2L2S ou les indications de sources, d'études, de recherches d'emplois et de stages culturels sont mentionnées sur le blog du séminaire :http://b-artsdelamoselle.eklablog.com/

    Covid 19 : "Le port du masque n’est plus obligatoire en milieu universitaire, ni pour les personnels, ni pour les étudiants. Ceci ne fait bien entendu pas obstacle à ce que les étudiants ou les personnels, qui le souhaitent, le portent. Il demeure fortement recommandé :- dans les lieux clos ou de grande promiscuité (les transports par exemple),- dans les lieux clos mal aérés et/ou mal ventilés - en présence de personnes âgées, immunodéprimées, malades chroniques et fragiles" Présidence de l'Université de Lorraine, message du 5 décembre 2022.

     

     


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  • Caroline Renouard

    (MCF, Université de Lorraine, 2L2S-Metz)

     Visibilité et invisibilité, présence et absence des effets spéciaux visuels (VFX) en France. Présentation de travaux de recherche en cours.

    En février 2022 est décerné le premier César des meilleurs effets visuels. C’est une grande première en France, alors que cette récompense existe déjà depuis des décennies un peu partout ailleurs dans le monde. Ce prix est censé saluer «l’excellence de la créativité française» à travers le travail des superviseurs des effets visuels et offre un début de reconnaissance, côté professionnel, mais aussi grand public, de ce métier de l’ombre. Mais pourquoi cette dernière est-elle aussi tardive, alors que les effets numériques sont omniprésents dans le cinéma français? Car oui, la part la plus conséquente des effets dans les films français, contemporains et passés, réside dans des trucages généralement peu perceptibles par le grand public et par les critiques. Et comme on ne les voit pas, on n’en parle pas… L’invisibilité de ces effets répondrait-elle à l’absence de discours sur le sujet?

    Pourtant, cette absence de discours n’a pas toujours existé. En effet, alors que le cinéma célèbre son premier siècle en France au milieu des années 1990, certains critiques analysent plus largement l’arrivée de ces nouvelles images numériques comme la mort du cinéma, puisqu’elles se diffusent tel un «cancer» dans le tissu filmique. Les effets visuels cristallisent essentiellement la rupture épistémologique que représentent plus généralement toutes les technologies numériques dans le champ des images et du cinéma. La non-légitimité des «fausses» images de synthèse semble corrompre les «vraies» prises de vues argentiques et leur ontologie photographique. Nous verrons donc qu’au cours de ces quarante années passées, les mutations des discours critiques tenus sur les effets visuels sont inhérentes à une (r)évolution technologique et une transition professionnelle qui voit l’apparition et l’adaptation de nouveaux métiers, comme celui de superviseur des effets visuels.

    Caroline Renouard est maîtresse de conférences à l’Université de Lorraine, au sein du Laboratoire Lorrain de Sciences Sociales et Arts (2L2SA) et de l’UFR Arts, Lettres et Langues, où elle codirige avec Léo Souillés la licence Arts du spectacle. Ses travaux de recherche portent notamment sur l’histoire, l’esthétique et les métiers du cinéma et plus particulièrement concernant les effets spéciaux visuels.Avec Réjane Hamus-Vallée, elle a codirigé le no 155 de CinémAction «Les métiers du cinéma à l’ère du numérique» (mai 2015), publié Superviseur des effets visuels pour le cinéma (Eyrolles, 2015) et Les effets spéciaux au cinéma, 120 ans de création en France et dans le monde (Armand Colin, 2018). Elle fait partie du groupe de recherche Création Collective au Cinéma (2L2S et LARA-SEPPIA), dirigé par Bérénice Bonhomme et Katalin Pór. Avec cette dernière, elle vient de terminer la publication d’un ouvrage collectif intitulé «L’équipe de film au travail. Créations artistiques et cadres industriels» (éditions de L’AFRHC, janvier 2023).

    La séance aura lieu mardi 13 décembre 2022 à 17h00, à Metz,

    ile du Saulcy, Bâtiment A UFR Arts Lettres et Langues, Amphithéâtre 2

     

    Lien Teams pour les personnes ne pouvant se déplacer :

     

     https://teams.microsoft.com/l/meetup-join/19%3ameeting_MGVhZTI0MzMtMWFmNC00ZmJkLTk1MzItNDdjMGYwYjU0ZjJj%40thread.v2/0?context=%7b%22Tid%22%3a%22158716cf-46b9-48ca-8c49-c7bb67e575f3%22%2c%22Oid%22%3a%22b27e6e44-0869-43a1-9dda-371d933bc25b%22%7d

     
    Toutes les séances passées et futures du séminaire, les éléments d'information sur les études de doctorat et les recherches en Arts à Metz, les informations sur les colloques, journées d'études, séminaires qui impliquent le 2L2S ou les indications de sources, d'études, de recherches d'emplois et de stages culturels sont mentionnées sur le blog du séminaire :http://b-artsdelamoselle.eklablog.com/

    Informations COVID 19 : L'épidémie continue à faire des victimes en France. Soyez vigilants.
    "Au moment de la rentrée, le port du masque n’est pas requis en milieu universitaire, ni pour les personnels, ni pour les étudiants. Ceci ne fait bien entendu pas obstacle à ce que les étudiants ou les personnels qui le souhaitent, le portent. Conformément aux recommandations des autorités sanitaires, le port du masque en intérieur est fortement recommandé pour les personnes contacts à risque durant les 7 jours après la survenue du cas confirmé ainsi que pour les cas confirmés durant les 7 jours suivant leur période d’isolement" Direction générale des services Université de Lorraine message du 13 septembre 2022

    "Le port du masque n’est plus obligatoire en milieu universitaire, ni pour les personnels, ni pour les étudiants. Ceci ne fait bien entendu pas obstacle à ce que les étudiants ou les personnels, qui le souhaitent, le portent. Il demeure fortement recommandé :- dans les lieux clos ou de grande promiscuité (les transports par exemple),- dans les lieux clos mal aérés et/ou mal ventilés - en présence de personnes âgées, immunodéprimées, malades chroniques et fragiles" Présidence de l'Université de Lorraine, message du 5 décembre 2022

     


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